La condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison avec mandat de dépôt à effet différé et exécution provisoire, prononcée par le tribunal de Paris, a suscité de vives réactions et soulevé des interrogations sur les circonstances de cette sentence. En effet, cette décision qui contraint l’ancien Président à se rendre en prison découle d’un amendement débattu et voté par le Sénat en 2018, sous le nom de ‘amendement Renaissance’. Cette mesure, appliquée aujourd’hui avec rigueur, a été soutenue à l’époque par la droite sénatoriale, malgré les polémiques et les inquiétudes exprimées par certains observateurs. L’histoire retiendra donc que c’est une modification législative ayant trouvé son origine au sein du Palais du Luxembourg qui scelle le sort de l’ancien chef de l’État. Cette affaire soulève ainsi la question de l’indépendance de la justice et de l’impact des décisions politiques sur le monde judiciaire. Le 2 octobre 2025 restera gravé dans les mémoires comme le jour où un amendement controversé a conduit un ancien Président derrière les barreaux.
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