Lors d’un récent discours à l’approche des fêtes de Pâques, Donald Trump, interprété par James Austin Johnson, a comparé sa gestion de l’économie à l’histoire de la mort et de la résurrection de Jésus. Faisant irruption dans une scène de la Bible, Trump a commencé par reconnaître de manière auto-consciente qu’il se comparait une fois de plus à Jésus. « Vous savez, beaucoup de gens m’appellent même le messie à cause du gâchis que j’ai fait de l’économie », a-t-il poursuivi, expliquant ensuite ses revirements sur sa politique tarifaire malchanceuse. « Mes beaux tarifs, si beaux. Ils fonctionnaient… Voir l’article complet sur Rollingstone.com. Cette comparaison audacieuse a suscité de vives réactions et des débats houleux quant à la pertinence et à la décence d’une telle analogie. Certains ont salué l’audace du discours tandis que d’autres l’ont vivement critiqué, soulignant le caractère sacrilège de la comparaison. En ces temps de division et de tensions politiques extrêmes, la déclaration de Trump a une fois de plus mis en lumière la polarisation profonde qui divise le pays. L’impact de ces paroles sur l’opinion publique reste à déterminer, mais une chose est certaine : cette comparaison ne manquera pas de continuer à susciter des débats animés et passionnés dans les semaines à venir.
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