Les températures en hausse et la sécheresse croissante ont un impact négatif sur les rendements mondiaux des cultures, en particulier pour des céréales clés comme le blé, l’orge et le maïs, selon une étude de Stanford publiée récemment dans les Actes de l’Académie Nationale des Sciences. Ces pertes liées au climat dépassent désormais les bénéfices du dioxyde de carbone accru, mettant en avant le besoin urgent de modèles améliorés et de stratégies d’adaptation dans l’agriculture à l’échelle mondiale. Avec une augmentation de la chaleur et des sécheresses plus fréquentes, la question des rendements des cultures devient une préoccupation mondiale cruciale nécessitant des actions concertées pour atténuer les effets néfastes sur la sécurité alimentaire et l’agriculture.
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