Alpine F1, l’écurie française, vit des changements en coulisses avec le départ surprise d’Oliver Oakes. Flavio Briatore, pressenti pour prendre la relève, se voit barré par un manque de documents officiels. C’est ainsi que Dave Greenwood, l’actuel directeur de course, a été nommé nouveau directeur de l’équipe. Cependant, Briatore devrait occuper effectivement le poste laissé vacant. Le départ d’Oakes, suite à l’arrestation de son frère William, soulève des interrogations sur les raisons de son retrait. Pendant ce temps, Franco Colapinto rejoint Pierre Gasly chez Alpine, avec pour mission de prouver sa valeur en cinq courses. Ces mouvements en interne laissent entrevoir des tensions et des enjeux importants au sein de l’écurie française. La pression sur les pilotes, symbolisée par le contrat précaire de Colapinto, met en lumière le phénomène d’ubérisation des pilotes de Formule 1, où la performance immédiate prime sur la durée. La nomination des pilotes devient ainsi un jeu complexe, influencé par des facteurs financiers et des décisions parfois impitoyables. Dans ce contexte, l’écurie Alpine doit jongler entre les talents en herbe, les impératifs de performance et les enjeux économiques, sous le regard attentif de Briatore et des observateurs du paddock.
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