L’Algérie a exprimé samedi soir son indignation face à la détention en France d’un agent consulaire accusé d’implication dans l’enlèvement de l’influenceur algérien Amir Boukhors. La réaction d’Alger a été ferme, qualifiant cette affaire d’inadmissible et susceptible de causer un grand préjudice aux relations entre l’Algérie et la France. La diplomatie algérienne a vivement protesté contre cette situation, dénonçant un manque de respect des procédures diplomatiques dans l’arrestation de l’agent consulaire. Cette affaire a suscité des tensions diplomatiques entre les deux pays, déjà fragilisés par des dissensions sur d’autres dossiers. Les autorités françaises ont réagi en mettant en avant les éléments à charge contre les personnes impliquées dans l’enlèvement de l’influenceur, tandis que les autorités algériennes ont exigé la libération immédiate de leur agent consulaire. Cette affaire met en lumière les tensions existantes entre la France et l’Algérie, exacerbées par des désaccords récents, notamment sur la question du Sahara occidental. Malgré les appels au calme des deux côtés, les relations bilatérales demeurent sous tension, renforçant l’incertitude quant à l’avenir de la coopération entre les deux pays.
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